Immobilier locatif : est-ce toujours bénéfique ?

L’immobilier est un bien présentant une caractéristique particulière. Depuis 2014, la vente de bien immobilier à augmenter. Le secteur est actuellement en expansion. De même, les prix connaissent une hausse. En effet, la valeur d’un logement augmente à travers le temps. L’immobilier locatif consiste à acquérir une habitation en vue de la faire louer. Différentes modalités sont associées à cette action : taxes, impôts, et autres. Ces éléments varient selon la politique du gouvernement.

Le fonctionnement du secteur

Des revenus à long terme sont procurés par l’investissement locatif. La location d’un appartement, ou d’une maison constitue une source de rémunération sûre pour le propriétaire. Le locataire selon le contrat doit lui verser son loyer par moi. En effet, du point de vue juridique, les deux parties sont reliées par un contrat de location. Les clauses contenues dans ce document concernent les droits et obligations de chacun durant le bail. Les réparations à la charge du propriétaire et du locataire sont également définies dans l’accord. Les biens immobiliers augmentent de prix au fil du temps. Les revenus perçus seront alors le plus souvent à la hausse. Il permet d’assurer à son propriétaire une retraite à travers des revenus supplémentaires générés. Il peut également le choisir comme résidence principale.

L’évolution des lois fiscales sur l’immobilier locatif

Parmi les avantages de la gestion d’un immobilier locatif se situe la fiscalité. Les dettes fiscales dépendent des caractéristiques de la propriété. Les taxes pour les logements neufs se différencient de celui sur les anciens, de même pour les logements meublés et vides. Les revenus fonciers sont reliés aux habitations vides tandis que ceux meublés suivent les bénéfices industriels et commerciaux. La loi Malraux permet une réduction des impôts lors de l’acquisition de logement ancien à rénover. Les placements dans les zones où la demande est élevée sont régis par la loi Pinel. Cette loi incite à investir dans des logements neufs. Elles sont donc allégées ou exonérées selon ses effets sur l’économie de l’Etat.

La transmission de ce bien est aisée. En effet, le donateur peut effectuer un démembrement ou s’inscrire à une Société Civile Immobilière. Cette action permettra de réduire les impôts à payer dans la procédure. De plus, l’Etat incite l’investissement dans ce secteur. Si le contribuable investit dans un projet immobilier significatif pour le marché, il perçoit une allégation des impôts à payer. Le propriétaire est soumis à l’impôt sur le revenu par rapport au loyer et à l’impôt sur la fortune concernant le bien.

Depuis 2018, d’autres dispositions ont été ajoutées au niveau du revenu locatif. Pour les logements vides, le revenu net est ajouté aux autres revenus. Lors du paiement des prélèvements sociaux et de l’impôt progressif, cette valeur est prise en compte. Les logements meublés sont soumis aux taxes sur les bénéfices industriels et commerciaux. L’impôt sur la fortune est remplacé par l’impôt sur la fortune immobilière. La dénomination différencie ces deux taxes. Le fonctionnement reste la même dans son application.

L’immobilier locatif présente des profits, mais également des risques. La rentabilité dépend de la gestion des investissements réalisés en prenant en compte les changements au niveau des charges.