Les recettes pour la réussite d’un investissement immobilier à Dijon

Comme de nombreuses autres villes françaises, notamment Nantes, Rennes ou Toulouse, Dijon doit son attractivité immobilière au dynamisme de son économie. La multiplication des opportunités dans l’agglomération et le Grand Dijon, qui rassemble les communes avoisinantes, sont prompts, depuis ces dernières années, à attirer de plus en plus d’investisseurs de différents secteurs. Mais le marché de l’immobilier, en particulier locatif, tire également avantage de la poussée démographique à Dijon et dans les communes alentour. Les investisseurs locatifs peuvent notamment tabler sur une demande locative qui va croissant.

Les atouts économiques de Dijon

Le dynamisme de l’économie dijonnaise attire de nombreux acteurs du monde des affaires. Les collectivités qui forment le Grand Dijon mettent d’ailleurs en œuvre de nombreux moyens pour soutenir cette croissance. La mise en place du tramway, entre autres, s’inscrit dans cette politique, les nombreuses voies de bus électriques permettant un accès facile et rapide vers le centre-ville, qui, lui, est devenu piéton. Les commerçants figurent parmi les grands gagnants des grands chantiers urbains à Dijon, mais aussi les restaurateurs ou encore les touristes, qui sont d’ailleurs présents dans la ville tout au long de l’année – cet atout est d’ailleurs régulièrement mis en avant par toute agence immobilière Dijon qui se respecte.

La présence de nombreuses entreprises dans l’agglomération représente également un atout appréciable. Parmi les groupes implantés à Dijon, on peut notamment citer Urgo et Sanofi, deux grands acteurs de l’industrie pharmaceutique, mais aussi Schneider et Thomson.

La solidité du tissu d’entreprises attire de nombreux cadres et chercheurs dans la ville et plus largement dans l’agglomération. Le potentiel économique fort représente également un atout pour le dynamisme du bassin d’emploi, ce qui explique en partie le choix de milliers de jeunes français ou européens de poursuivre ou terminer leurs études à Dijon.

Parmi les grands chantiers d’urbanisme qui contribuent « transformer » la ville », on peut par ailleurs aussi mentionner la construction de la Cité Internationale de la Gastronomie. Le site s’étend sur 70 000 m2 et comprend entre autres un hôtel cinq-étoiles de plus de quatre-vingt chambres, un complexe cinématographique, un pôle « culture et formation » ainsi qu’un écoquartier de plus de cinq cents logements.

Les atouts touristiques de Dijon

Le charme du centre-ville, maillon-clé du marché de l’immobilier dijonnais et reconnaissable entre autres à ses maisons aux toits colorés, séduit de nombreux visiteurs. Ces derniers se laissent envoûter littéralement par les vues imprenables sur les vignes qui entourent le cœur de Dijon. Le retour du tramway en 2010 a d’autant plus facilité la vie des voyageurs, faisant de Dijon un arrêt incontournable entre Paris, Lyon et même le Sud de la France. Les TGV et LGV qui s’arrêtent à la gare SNCF de la ville permettent aux touristes de s’offrir une escale culturelle et gastronomique.

Choisir le bon emplacement pour investir dans le locatif

La situation du bien immobilier est censée correspondre aux attentes de la demande locative du secteur. En l’occurrence, la demande locative, déjà soutenue, est en hausse à Dijon depuis ces dernières années, en particulier pour les personnes à la recherche d’une résidence principale, ce qui reflète le regain de compétitivité du marché dijonnais.

Les taux d’intérêt très bas ont par ailleurs dopé sensiblement le pouvoir d’achat des habitants comme des nouveaux venus. Les investisseurs privilégient le plus souvent les petits appartements ou les maisons situées à proximité de l’agglomération. Nombre d’entre eux s’intéressent plus particulièrement au quartier du centre-ville historique, les acquéreurs y recherchant des biens ayant un vécu, une histoire, tout en étant proches des commodités qu’offre la ville.

De nombreux acquéreurs s’intéressent également aux biens situés dans les quartiers à la limite du centre historique de Dijon. C’est le cas notamment des quartiers Montchapet, mais aussi Victor-Hugo, où les prix au mètre carré oscillent entre 1 700 et 2 600 euros. Le quartier Clémenceau tire, lui, profit du dynamisme du centre des affaires et des nombreux hôtels à proximité.

A noter aussi qu’il est assez facile de trouver des locataires dans les quartiers à proximité des établissements d’études supérieures. Ces secteurs sont de plus en plus dynamiques, profitant des atouts apportés par le déploiement de plans d’urbanisation et de transport en commun.